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Watchmen : an hbo limited series
Maggiori informazioni
Genere | Série TV |
Collaboratore | Stephen Williams, Adelynn Spoon, Jean Smart, Jeremy Irons, Andrij Parekh, Frederick E.O. Toye, Steph Green, Tom Mison, Tim Blake Nelson, Dylan Schombing, Andrew Howard, David Semel, James Wolk, Regina King, Lily Rose Smith, Sara Vickers, Danny Boyd Jr., Yahya Abdul-Mateen II, Nicole Kassell, Louis Gossett Jr. Mostra altro |
Lingua | Castigliano, Francese, Tedesco, Inglese |
Tempo di esecuzione | 9 ore |
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Descrizione prodotto
Boîtier métal SteelBook limité
Intégrale en 9 épisodes de 60 minutes :
01 - C'est l'été et nous sommes à court de glace (It's Summer and We're Running Out of Ice)
02 - Prouesses martiales des cavaliers comanches (Martial Feats of Comanche Horsemanship)
03 - Elle a été tuée par un débris spatial (She Was Killed by Space Junk)
04 - Si tu n'aimes pas mon histoire, tu n'as qu'à t'en écrire une (If You Don't Like My Story, Write Your Own)
05 - Sans craindre la foudre (Little Fear of Lightning)
06 - Cet être extraordinaire (This Extraordinary Being)
07 - Une révérence quasi religieuse (An Almost Religious Awe)
08 - Un dieu entre dans Abar (A God Walks into Abar)
09 - Regardez comme ils volent (See How They Fly)
Dettagli prodotto
- Aspect Ratio : 1.78:1
- Età consigliata : Universale
- Lingua : Castigliano, Francese, Tedesco, Inglese
- Dimensioni del collo : 17,02 x 13,72 x 1,52 cm; 180 grammi
- Regista : Nicole Kassell, Stephen Williams, Steph Green, Andrij Parekh, David Semel
- Tempo di esecuzione : 9 ore
- Attori : Regina King, Yahya Abdul-Mateen II, James Wolk, Lily Rose Smith, Adelynn Spoon
- Doppiaggio: : Tedesco, Inglese, Spagnolo, Francese
- Sottotitoli: : Francese, Norvegese, Finlandese, Castigliano, Svedese, Danese, Olandese
- Lingua : Castigliano (Dolby Digital 2.0), Tedesco (Dolby Digital 5.1), Spagnolo (Dolby Digital 2.0), Francese (Dolby Digital 5.1), Inglese (DTS-HD 5.1)
- Studio : HBO
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- ASIN : B0863VPKF7
- Paese di origine : Francia
- Numero di dischi : 3
- Recensioni dei clienti:
Recensioni clienti
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Versione steelbook francese,ormai introvabile se non a prezzi alti,fortunatamente qui su Amazon.it ancora si trova..
ATTENZIONE: errore nel retro della copertina che indica sottotitoli in italiano. È un errore, NON ci sono,come nemmeno la lingua. Ovviamente qui in Italia manco si sbattono a far uscire il dvd ed è per questo che noi appassionati dobbiamo comperare gli import privi del nostro idioma. La solita vergogna del mercato home video italiano. Se però conoscete l’inglese prendetela ad occhi chiusi,vivamente raccomandata.

Versione steelbook francese,ormai introvabile se non a prezzi alti,fortunatamente qui su Amazon.it ancora si trova..
ATTENZIONE: errore nel retro della copertina che indica sottotitoli in italiano. È un errore, NON ci sono,come nemmeno la lingua. Ovviamente qui in Italia manco si sbattono a far uscire il dvd ed è per questo che noi appassionati dobbiamo comperare gli import privi del nostro idioma. La solita vergogna del mercato home video italiano. Se però conoscete l’inglese prendetela ad occhi chiusi,vivamente raccomandata.

Le recensioni migliori da altri paesi

La série, comme le film, sont directement inspirés de la série de comics, répartie sur douze numéros, publiée ensuite sous forme d’album relié, afin d’en faciliter les ventes au fil des années auprès des lecteurs (et non un roman graphique, qui comprend une histoire unique s’étalant sur une soixantaine de pages maximum, dont le terme est régulièrement repris, car plus prestigieux).
Cet univers uchronique, bien qu’affichant une certaine différence en appuyant plus sur la touche fantastique, puisqu’il fait directement suite au final des comics, qui voit Adrian Veidt alias Ozymandias, manigancer la fausse attaque d’un poulpe extra-terrestre géant sur New York, afin d’éviter une guerre nucléaire entre les Etats-Unis et la Russie, a le mérite d’aller encore plus loin que l’inspiration initiale, déjà complexe, créée par l’auteur Alan MOORE. Cette série extrêmement ambitieuse, aborde des thèmes difficiles et sensibles, comme la politique, la justice, la rupture sociale, la corruption, le sexisme, l’identité et surtout le racisme qui s’affirme comme étant son thème central, dénoncé fortement comme un mal rongeant l’Amérique de l’intérieur, qui contamine même des corps de métiers censés faire respecter la loi, comme les forces de l’ordre. Ce qui a le mérite de poser un constat habile sur l’état de la société américaine actuelle et de ses possibles dérives, question plus que jamais brûlante par rapport à l’actualité évoquée ces derniers mois.
En effet, la série mélange le passé de l’Histoire des Etats-unis, avec les petites histoires, qui racontent le voyage des personnages, ce qui vient se répercuter avec une force inégalée sur le présent, témoin d’actes qui ont choqué la majorité des personnes civilisées. La série met à jour un drame, complétement ignoré des livres d’histoires durant plusieurs dizaines d’années, le massacre de Tulsa, ville d’Oklahoma, en 1921. Considéré comme l’équivalent de Wall Street, le quartier de Greenwood, où les habitants de la communauté noire vivaient bien tranquillement leur vie, fut attaqué par une centaine de blancs, qui débarquèrent durant deux jours afin de les tuer, ils incendièrent tout sur leur passage, ne laissant que des cendres.
Ma critique portera sur l’édition Blu Ray, composée d’un coffret, elle comporte les 9 épisodes, répartis sur 3 disques. Le support délivre un rendu HD proprement sublime, dû au tournage numérique, qui affiche un transfert impeccable, avec un piqué très précis et sans aucun grain, l’image est superbe, affichant de belles couleurs et le contraste est très profond. Côté son, la version française, proposée en Dolby Digital 5.1, est de très bonne qualité, mais elle reste inférieure à la version originale sous-titrée en français, proposée en DTS-HD Master Audio 5.1, dont le dynamisme est un régal, assurant une immersion très riche au cœur de toutes les séquences et bénéficiant d’une clarté unique dans les dialogues.
En 1921, au cours du massacre de Tulsa, en Oklahoma, un enfant noir parvient à échapper aux émeutes et à fuir. En 2019, toujours à Tulsa, un agent de police est tué lors d’un contrôle routier, par un membre de la 7ème Kavalerie. Le chef de la police, Judd Crawford réunit ses agents et leur donne toute autorisation afin d’abattre le tireur. La policière Angela Abar, décide de mener une enquête approfondie sur ce groupuscule et enfile son costume de Sister Night. En effet, trois ans auparavant, les suprémacistes blancs de la 7ème Kavalerie, se réclamant du justicier Rorschach, se sont attaqués à tous les flics de la ville et à leur famille, lors d’une nuit de destruction surnommée « la nuit blanche ». Depuis, afin de protéger leur identité, tous les agents de police travaillent masqués par des cagoules, couvrant les ¾ du visage.
Après avoir regardé cette série unique en son genre, un seul constat s’impose immédiatement : le génie créatif de Damon LINDELOF a encore frappé. Raconter la suite de cette adaptation iconique était loin d’être gagnée et pourtant le défi présenté se révèle être à la hauteur du résultat final : une dystopie puissante, fascinante et unique, beigné dans un riche contexte politique et social, nous fait vivre un voyage captivant qui prend le temps de construire, épisode après épisode, toutes les intrigues, monté comme un puzzle dont les pièces semblant sans aucun rapport, s’assemblent comme par magie au fur et à mesure, grâce à un scénario intelligent et subtil. Sans oublier les personnages de la super-équipe initiale, que l’on retrouve ici au nombre de trois, avec Ozymandias, le Docteur Manhattan et le Spectre Soyeux, totalement réinventés, pour raconter la fin de leur histoire.
Sans compter des acteurs prestigieux, qui magnifient encore plus cette série extraordinaire, avec en premier lieu, l’excellente Régina KING, qui réalise une performance de haute volée en incarnant l’héroïne principale, Angela Abar alias Sister Night, à la fois déterminée et torturée, elle est tout simplement magistrale et fait preuve d’une prestation remarquable, en délivrant une large palette d’émotions dans un registre dramatique tout en nuances, la comédienne récolte à juste titre l’Emmy Award de la meilleure actrice, un prix amplement mérité ; Jeremy IRONS est parfait dans le rôle de l’homme le plus intelligent du monde, Adrian Veidt alias Ozymandias, qu’il interprète avec classe et flegme, énigmatique à souhait, tout en imposant une présence certaine, il sait faire passer l’ambiguïté du personnage comme personne ; Jean SMART redonne une seconde vie à Laurie Blake, le Spectre Soyeux et ex-compagne du Docteur Manhattan, on la retrouve agent fédérale, en pleine enquête sur un meurtre, tout en retenue, elle est très convaincante et gère impeccablement tous les événements qui arrivent de manière très crédible ; tandis que Yahya ABDUL-MATEEN campe le Docteur Manhattan sous forme humaine, dans un parfait équilibre, Hong CHAU interprète Lady Trieu, ultra mystérieuse, elle forme quasiment un puzzle à elle toute seule, tant on se demande quels sont exactement ses plans, elle surfe sur le fil du rasoir tout du long et l’immense Louis GOSSETT Jr, incarne Will Reeves, surprenant de bout en bout, ses origines sont dévoilées au fur et à mesure, le comédien révèle tout son talent en étant d’une justesse remarquable ; enfin Don JOHNSON campe le chef de la police Judd Crawford, avec beaucoup de crédibilité et d’assurance.
Véritable OVNI télévisuel, la série respecte le comics d’origine, dont il est la suite, tout en ouvrant la porte vers d’autres trajectoires, afin de pouvoir transcender sa forme originelle. Ce qu’il réussit parfaitement, assurant aux personnes qui la regarderont jusqu’au bout, une très belle surprise. Dotée d’un réalisme surprenant, il y a certes, beaucoup d’informations à assimiler au fil des épisodes, mais la richesse du scénario, les thèmes abordés et le talent des acteurs en valent largement la peine. Succès public, mais aussi critique, puisque la série réussit à engranger 11 Emmy Awards, sous une pluie de 26 nominations, dont les prix les plus importants, pour la meilleure mini-série et la meilleure actrice pour Régina KING.
Une véritable claque pour le spectateur.




Sinon, hormis quelques longueurs, cette série est extrêmement bien ficelé. Elle est respectueuse de l’œuvre originale et parvient même à justifier (même si on n’est pas totalement convaincu) l’impensable. Un des protagonistes pose son cerveau pour enfin ouvrir son cœur. Un déçu de l’amour inconditionnel... Bref...
On regrettera toutefois que certains épisodes ne soient pas un peu plus dynamiques, mais je préfère ça que l’inverse !
Curieusement, tant du point de vue du scénario, de la musique, ou encore des cartons titres, on trouvera à cette série une ressemblance avec Mr. ROBOT, bien que diamétralement différentes, mais aussi avec LOST, mais là ça n’a rien d’étonnant.
Pour finir il y a dans cette saison un véritable culte autour de l’œuf qui est non sans rappeler la tête de quelqu’un. Beatles, Beasty Boys, Proverbes, Recettes, etc... tout y passe, même les Easter Egg, comme le crash d’Ozy sur les terres des Clark qui ne vivent pas dans le KENT, mais à Tulsa OKLAOMA.
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